22 septembre 2023

Nouveau tracteur

 Il y a quelques années, nous disposions de deux tracteurs pour agir un peu partout dans le village. Usés au delà du raisonnable, ils ont fini par être retirés du service, un autre tracteur plus gros ayant pris le relai.

Mais ce n'est pas de ce gros tracteur qu'il s'agit ici mais bien d'un autre, du même gabarit que les anciens. Plus précisément, le successeur dans la gamme, une version modernisée.

Chez le concessionnaire

 Le gros tracteur a l'inconvénient de ne pas passer partout et il est surtout amené à remplir d'autres missions. Il porte la lame à neige en hiver, et depuis l'année dernière une épareuse pour faucher les accotements, talus et fossés.
Le petit tracteur nous ramène la maniabilité et la disponibilité quand le gros est affecté à d'autres tâches. De plus, il permettra d'utiliser à nouveau les remorques que nous avions conservées.

Version modernisée, mais si proche... l'usage ne change pas vraiment, juste quelques détails.
Des sécurités ajoutées ici et là au gré des nouvelles normes, rien de bien révolutionnaire. Par contre, un ajout fort appréciable: un système d'attache rapide du plateau de tonte.
L'ancien système demandait beaucoup de manipulations et ne pouvait se manipuler qu'à deux personnes. Cette nouvelle version du plateau est équipée de rampes pliables et d'un système d'accouplement automatique du cardan de prise de force. On roule par dessus et ça se branche tout seul, il n'y a plus qu'à replier les rampes et verrouiller le système d'attache.
Voilà qui facilite énormément la maintenance !

 Les rues de Chalifert verront donc à nouveau le petit tracteur remplir des missions en tous genre: tonte, ramassage de déchets, transport d'équipements ou matériaux.

 

03 mai 2023

Ouverture d'une classe maternelle

 L'arrivée de nouvelles familles à Chalifert a rendu nécessaire l'ouverture d'une nouvelle classe de maternelle au château.*

Cette fois, c'est la salle du rez de chaussée qui est réaffectée. Autrefois accueil de la garderie et du centre de loisirs, cette grande salle a déjà récupéré son dortoir.

Peinture des plinthes, teinte maison
Il y avait déjà un dortoir à cet emplacement il y a quelques années, supprimé pour agrandir l'accueil de loisir. Nous avions enlevé la cloison mais conservé le circuit électrique dans le faux-plafond. Ainsi, il n'y a eu qu'à remonter une cloison au même endroit et y reposer le circuit en attente. La cloison a deux épaisseurs de plaques phoniques de chaque côté et est remplie de laine de roche acoustique.
Les fenêtre ont été équipées de volets roulants motorisés pour l'occultation, l'autre dortoir en a été équipé aussi, son store étant passablement usé.

 C'est maintenant la classe qui doit être aménagée.
L'opération commence par le déplacement du bloc sanitaire vers l'entrée du bâtiment. La cuvette PMR et son lave-mains sont déposés pour préparer la pièce à recevoir les deux cuvettes enfants auxquels on accédait depuis la grande salle. La conformité du bâtiment pour l'accueil de personnes à mobilité réduite reste acquise car le niveau est équipé d'un autre bloc sanitaire adapté.


C'est un gros travail de modification des canalisations qui est requis. Dans le nouveau bloc sanitaire, la pose des petites cuvettes nécessite le prolongement de l'alimentation et de l'évacuation. Il faut se reprendre sur l'existant qui ne prévoyait pas cette option, créer des caissons pour installer les réservoirs de chasse d'eau et cacher les évacuations, habiller tout ça et peindre
Même chose pour les petits lave-mains qu'il faut ajouter et mettre à la hauteur des enfants. Des cloisons décoratives sont ajoutées pour apporter un minimum d'intimité... et de couleur.

La grande salle voit son éclairage à tubes fluorescents remplacé par des dalles de LED plus efficaces et économiques. Leur disposition a été modifiée pour en ajouter deux et obtenir un éclairage plus régulier.

Dépose des anciens luminaires

L'emplacement libéré par le démontage des toilettes côté grande salle est à son tour rééquipé pour devenir une tisanerie.
Eau, évacuations et électricité sont modifiés pour raccorder tous les équipements encastrés dans les meubles. L'agencement a été simulé sur le site d'un célèbre fournisseur et configuré pour exploiter au mieux le petit local. Par chance, il a été possible d'avoir le même aspect que les autres classes déjà équipées il y a plusieurs années déjà.

Quelques mois plus tard,
nettoyage pendant les vacances.



La classe elle-même ne voit que peu de modifications et à part la pose d'un tableau mural, c'est surtout le mobilier qui va la rendre opérationnelle.

A chaque période de vacances, le gros nettoyage

 

 *Cet article est publié longtemps après coup. Certaines opérations ont été complétées lors des congés scolaires et il n'est pas toujours possible de coller à l'actualité...


28 avril 2023

En attendant la nouvelle cantine...

 Le projet d'agrandissement du groupe scolaire a pris du retard, pour des raisons que le service technique ne maîtrise pas. Mais quand on peut aider...

La difficulté était que le nombre d'enfants fréquentant la cantine ne pouvait être accueilli dans le réfectoire en deux services; il fallait en servir un certain nombre dans la grande salle du rez de chaussée, avec l'inconvénient des allées et venues entre les étages.
Le pire est que ce n'était pas par manque de place mais faute de mobilier adapté.
En effet, le réfectoire est équipé de tables et chaises de différentes hauteurs et il n'y en avait pas assez pour les grands.

En attendant la livraison de la nouvelle cantine, l'actuelle a été équipée d'un premier lot de nouvelles tables et de leurs chaises spéciales. Ces chaises permettent de faire manger les petits sur des tables de grands. Le service est plus confortable pour les adultes et les tables sont utilisables indifféremment pour petits et grands. Les nouvelles chaises surélevées ont également pour avantage de pouvoir se percher sur les tables pour faciliter le nettoyage du sol. Cela permet de ne pas avoir à les empiler puis déplacer pour laver par terre.
Sol dégagé, nettoyage plus facile

Cette polyvalence permet de se passer des 4 tables installées au rez de chaussée qui formaient un service à part. Libérer cette salle a par ailleurs permis d'en faire une nouvelle classe de maternelle.
Les repas sont donc pris dans une seule salle, en deux services banals. Les nouvelles tables n'ont rien de particulier si ce n'est qu'elles sont donc toutes à la hauteur standard "adulte". Les trois exemplaires commandés remplacent des anciennes tables en mauvais état.

Le jour de la livraison, les matériels ont été montés et mis en place sans interruption du service.


25 mars 2023

Coupure internet mars 2023: câbles disparus !

 La Mairie a été informée par différentes sources que le service internet était hors service. Il faut donc commencer par un petit rappel: la mairie n'est pas impliquée dans les services de télécommunications et les problèmes liés au téléphone et à internet doivent être signalés à l'opérateur de la ligne concernée, que ce soit de l'adsl sur fils de cuivre ou de la fibre optique.

A noter d'ailleurs que la mairie rencontre parfois ce genre de difficultés et que cette fois, c'est l'école qui fait partie des "victimes". Le dérangement est donc signalé à l'opérateur concerné.
Puis notre collègue Paul, voisin de l'école, signale aussi une coupure, rapidement suivi par d'autres riverains des rues Pasteur et Vaillant. Dès lors on est sûrs que ce n'est plus un problème de ligne individuelle et l'intervention de techniciens dans les coffrets de connexion ne saurait tarder.

Et effectivement, deux fourgons arrivent et nous ne manquons pas d'interroger les techniciens. Il apparaît rapidement que le problème est sérieux car les instruments de mesure indiquent une coupure franche des câbles. A l'ouverture des plaques des chambres de tirage où passent les gros câbles de transport et les petits câble de distribution vers les abonnés, le malaise augmente car le câble recherché est introuvable !

 D'autres chambres de tirage sont ouvertes en remontant la rue Pasteur vers Chessy et à chaque fois, le câble recherché, que les plans indiquent de plus en plus gros, n'est toujours pas là. Des gaines sont retrouvées vides, avec des traces d'occupation récente, les techniciens ne peuvent qu'en déduire un vol de câbles.

Retour au coffret du centre ville, nouvelle ouverture des plaques, nouvelles mesures, et après des efforts pour démêler les nombreux câbles, apparaît une coupure nette.

 Vu de plus près, le câble n'a rien à voir avec le fil qui va de la prise murale au combiné téléphonique où à la box internet: il y a ici 400 paires coupées, potentiellement autant de lignes d'abonnés... D'après les techniciens, à l'autre bout le câble est plus gros et ce serait alors 900 paires de fils de cuivre qui seraient sectionnées.


 Sur ce constat, les techniciens expliquent qu'une plainte sera déposée pour vol de câbles et que ceux-ci seront remplacés au plus vite. Cela sera du ressort de la police nationale. Cela est choquant pour nous qui avons vu des individus avec du gros matériel enlever et découper ces câbles. Les interventions sur les réseaux télécom sont tellement fréquents, pour ne pas dire permanents, qu'on ne se pose jamais la question de la légitimité des travaux et de ceux qui les font. D'ailleurs, ce n'est pas notre rôle.
 En discutant de la chose avec la police municipale, un lien se fait et il apparait qu'une entreprise avait demandé une autorisation de travaux pour de la dépose de câbles. Contact repris avec les techniciens, l'étude du dossier d'autorisation laisse penser à une grossière erreur d'interprétation d'un schéma technique. L'entreprise concernée a été informée et sommée de remettre l'installation en ordre de marche. Le délai de réparation devrait être d'environ une semaine.

Quelles conclusions en tirer ?
On a souvent eu des problèmes avec les lignes aériennes, cuivre ou fibre optique, on sait qu'il y a des actes de malveillance, mais on ne pensait pas que l'on aurait un tel problème avec des lignes enterrées. Cela veut dire qu'il y a une certaine vulnérabilité des réseaux, qu'ils soient anciens, aériens, ou fibrés et enterrés. Ce n'est pas un arbre couché par le vent, ce n'est pas un camion hors gabarit, juste une gaffe.
 Ce qu'on nous annonce comme temps de réparation est trop court pour mettre en place des solutions de dépannage comme les clés 4G que les opérateurs fournissent en cas de dérangement plus long. Ne reste que la patience...
Courage.

16 juillet 2022

Débroussaillage: les grands moyens

 En lisant les articles de ce blog, vous comprenez que notre domaine d'action est très étendu. Si cela nous permet d'être réactifs et plutôt autonomes, cela nous accapare également et il nous est souvent difficile de suivre la croissance des végétaux.

En effet, nous sommes fréquemment en retard sur l'entretien des espaces verts malgré une présence quasi-permanente sur le terrain.
Pour nous faciliter le travail, la municipalité a accepté de nous équiper d'une épareuse. Ce nom barbare désigne un appareil que vous avez certainement déjà vu à l'œuvre au bord des routes quand les tracteurs du Département ou des sociétés d'autoroutes entretiennent les accotements.

Photo: J. Capomassi

L'accessoire se monte à l'arrière du tracteur et dispose d'un bras articulé qui porte une tête de coupe à fléaux. C'est bien sûr un engin de taille réduite, adapté à notre modeste tracteur, mais il présente des avantages certains par rapport aux simples débroussailleuses.
- Il est beaucoup plus puissant et traite une bande de 60cm de large en une seule passe. 
- Le bras permet d'agir aussi bien à plat que sur les talus et dans les fossés.
- Il permet d'épargner beaucoup de temps et de fatigue en réduisant le temps de débroussaillage classique.
- Il ne fait pas usage de fil en plastique pour la coupe et ne libère donc pas de polluants dans les sols.
- Il coupe des végétaux jusqu'à 2,5 cm de diamètre, ce qu'une débroussailleuse ne peut faire, même avec des accessoires spéciaux.
- Le bras articulé permet également de travailler en hauteur et ainsi de recalibrer la végétation en bord de route qui interfère avec le gabarit des véhicules. Cette fois, c'est le taille-haie qui est remplacé pour ce travail éprouvant. 

Nous devons en toute honnêteté reconnaître aussi des inconvénients:
- Son installation sur le tracteur est difficile et réduit la disponibilité de celui-ci pour tracter la tonne à eau. 
- L'usage de l'accessoire consomme plus de carburant que le plateau de tonte. C'est heureusement compensé par le fait qu'on n'utilise pas les débroussailleuses pour le même travail, ou beaucoup moins.
- Le travail est assez lent et ne peut se faire que sur le côté droit, ce qui nous empêche de traiter le côté gauche des voies en sens unique.
- C'est une machine assez difficile à maîtriser et nos accotements très irréguliers ne nous aident vraiment pas. Il nous faudra probablement "un certain temps" avant d'obtenir une coupe "présentable". 

Le rapport avantages/inconvénients reste cependant favorable tant qu'on garde la disponibilité suffisante pour s'en servir régulièrement.
Le travail peut sembler laborieux mais il faut considérer que l'on entreprend aussi grâce à cela des travaux qui ne sont pas envisageables avec une simple débroussailleuse.
Par exemple les glissières de sécurité de la route de Lesches n'étaient plus visibles et la végétation commençait à réduire la largeur de la route. Les photos ci-dessous montrent avant/après en moins d'une demi-journée. Ce n'est pas terminé mais le progrès est remarquable en si peu de temps et d'efforts !

Avant (le sol est déjà dégagé).

Après, la glissière de sécurité réapparait.

La reprise des zones nous ayant peu à peu échappé ne se fera que par passes successives et il n'y aura probablement pas de changement spectaculaire mais au moins une amélioration générale. Ce n'est pas une solution miracle mais déjà un coup de main très appréciable.

Il pourra vous arriver de vous retrouver ralentis sur certaines routes de Chalifert les jours où l'épareuse sera en action. Nous essayons de limiter la gêne au maximum, merci pour votre compréhension et votre patience. Ce n'est pas juste pour faire joli mais aussi pour dégager la vue, donc pour la sécurité !

11 juin 2022

Des poules et des abeilles

 

Il y a maintenant quelques années que la commune dispose d'un rucher. L'endroit est en constante évolution.

Il a tout d'abord été implanté près de la tour Taratte mais l'endroit était trop exposé aux vents froids et la mortalité y était élevée. Déménagé à son emplacement actuel chemin de Meaux, il consistait en un alignement de ruches simplement posées au sol. Il s'est avéré que cette disposition ne donnait pas entière satisfaction.

En cas d'inondation, le terrain se retrouve assez vite envahi et les ruches étaient menacées. Elles ont donc été placées sur la terrasse, puis sur les jardinières qui l'entourent. Cela n'est cependant pas satisfaisant non plus car si les ruches sont hors d'atteinte de l'eau, les jardinières destinées à accueillir des fleurs mellifères ne sont plus accessibles.

Il a donc été décidé de créer un ponton pour y poser les ruches. La structure et le plancher sont en bois, et le dessous est rempli de panneaux de mousse isolante. 

Pour que le ponton ne dérive pas, il est entravé latéralement par des pieux métalliques qui forment un guidage vertical; il peut monter et redescendre mais pas quitter sa place.
Tant qu'à faire, les pieux sont utilisés pour installer un toit qui protège les ruches.

Les abeilles ne vont cependant pas rester seules bien longtemps, des poules les rejoignent sur le terrain. D'abord en liberté, la menace d'attaque par des animaux sauvages fait qu'un poulailler est rapidement construit pour les abriter, ne serait-ce que la nuit.

Mais voilà que les attaques se font aussi de jour puisque la nuit ce n'est plus possible. Un enclos grillagé est donc rajouté pour que les poules puissent se promener au plein air en toute sécurité. Des fondations en béton sont prévues pour empêcher les agresseurs de creuser sous le grillage.
Une allée bétonnée est ajoutée pour faciliter l'accès et l'entretien par tous temps.

Dans un prochain article, nous verrons la suite du développement de ce rucher. D'ici là, rappelons que vous trouverez le miel produit à Chalifert à la mairie.




24 mars 2022

Nettoyer partout... tout le temps

 

 C'est comme à la maison, il faut tout entretenir. Il faut donc être partout.

 Par exemple, pour dégager les grilles d'avaloirs des eaux pluviales. Ces grilles retiennent des cailloux, des brindilles, de la terre et autres déchets et s'obstruent avec le temps. L'eau les franchit et vient grossir le débit plus bas dans la rue. Pour éviter cela, nous dégageons ces débris de temps en temps. Malheureusement, il en revient assez vite...
Toutes ces grilles ne sont pas autant exposées et la provenance des débris diffère aussi selon leur emplacement. Pour certaines, la complication est que ces plaques sont sécurisées par de la visserie qui rouille et se bloque. Or, on ne peut pas juste casser les vis et reposer les plaques. Même si elles sont lourdes, il pourrait arriver qu'elles sortent de leur logement et dépassent de la chaussée; un réel danger pour la circulation.


Dans un autre domaine, mais toujours en voirie, l'incroyable quantité de déchets collectés sur la voie publique. Si les mauvais gestes sont permanents, les jours de vent fort sont les pires car s'ils coïncident avec les jours de sortie des poubelles de tri sélectif, ces dernières ont tendance à se renverser et à libérer leur contenu particulièrement apte à se laisser transporter jusque dans la nature. C'est quelque chose qu'on ne peut pas laisser faire alors les jours de vent fort, en plus des  ramassages ponctuels, une tournée systématique du village est organisée.

Pour les fois où un incendie est découvert après coup, eh bien il n'y a plus qu'à ramasser. Ici les conteneurs de déchets de la salle polyvalente, un endroit fréquenté par les enfants. Bravo les affreux, arracher le portail avec un véhicule pour faire ça c'est très malin !

 Dans un autre registre, un nettoyage très peu connu dans l'habitat individuel: les gaines de VMC. La ventilation est en fait une aspiration centralisée qui force le renouvellement d'air des lieux de vie. Les grands volumes d'air traités s'accompagnent inévitablement d'un dépôt de poussière. On en voit déjà pas mal sur les buses d'aspiration et leur démontage pour accéder aux tubulures révèle une accumulation importante. Cette poussière peut être propagatrice de feu et fait donc partie des nettoyages obligatoires sur le groupe scolaire (école et château).

Retour à la voirie, avec un type de nettoyage urgent. Une toupie à béton trop chargée a perdu une partie de son chargement en remontant de la route de Lesches à la rue Charles Vaillant. Les coulures de béton séchées sont très désagréables en voiture et sont même une menace pour les deux-roues. Fort heureusement, celle-ci a été repérée avant la prise du ciment et nous avons pu la pelleter puis brosser et rincer. Le volume évacué avoisine deux bonnes brouettes.
Voilà comment on se retrouve à lâcher les activités en cours pour intervenir sur un incident avec déploiement de matériel pas forcément prêt à ce moment là (tonne et pompe vidées pour protection contre le gel). La plupart des usagers de la route ne sauront jamais ce qu'il s'est passé là mais si nous n'étions pas intervenus tous auraient pesté pendant des années !

Mais on ne s'arrête pas là. Il y a malheureusement des interruptions causées par des dépôts sauvages, c'est un sujet qui revient trop souvent, avec des conditions d'interventions parfois scabreuses, ici dans un fossé le long d'un axe très fréquenté.

Et enfin, un nettoyage annuel sur l'école, pour des parties accessibles depuis une échelle: verrière, ardoises, gouttières.
Le nettoyeur de terrasses, équipé d'une rallonge, donne des résultats impressionnants.
Voilà donc encore un aperçu de la grande diversité de nos actions, un peu partout sur le territoire communal. A l'occasion des confinements, ces actions ont été maintenues et nous avons reçu quelques témoignages de sympathie qui nous ont bien fait plaisir.